La Flamande 04 – Magda Sodomisée

LA FLAMANDE 04 – Magda sodomisée
« Magda, lectrice assidue d'HDS, a voulu que sa propre histoire vécue, puisse être lue par des lecteurs de langue française. Ayant une culture étrangère à la nôtre, elle m'a demandé de transcrire la découverte tardive d'une sexualité exacerbée ».
Magda, une jolie blonde flamande, ayant dépassé de beaucoup la cinquantaine, ainsi que Patrick, un vieil aventurier septuagénaire, s’enfoncent dans le Sahara occidental, roulant dans un Land Rover hors d’âge en direction de Dakhla à la pointe sud du Maroc. Ils campent au bord de l’Océan Atlantique sur une plage déserte, à une cinquantaine de km au sud de Tan-Tan.
Après que Magda a avalé mon foutre jusqu’à la dernière goutte, je ne suis plus bon à grand-chose. Nous glissant sous le drap et la couette, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre. Les nuits sont fraiches en plein désert et au bord de l’océan. Heureusement que nous sommes bien couverts, avec la couverture supplémentaire que j’ai prévu en conséquence.

Je me lève toujours de bonne heure le matin. J’ai compris que Magda est très fatiguée de notre journée et de notre début de nuit épuisant, aussi je fais très attention de ne pas la réveiller. J’allume le feu avec du bois descendu de la galerie et je nettoie autour de la tente. Puis, je fais mes vérifications habituelles sur mon véhicule et enfin, je fais chauffer du café pour moi et de l’eau pour le thé de Magda. J’ai tout l’équipement nécessaire pour être autonome dans le désert ou en brousse, ayant pratiqué presque toute ma vie ce camping sauvage.

Je bois un café, seul, ressassant les propos que Magda m’a dit hier soir. Cette femme à une soif de vivre étonnante. Ayant eu assez peur de passer l’arme à gauche, elle a décidé de prendre du bon temps, tant qu’elle le pourrait. Le fait qu'après sa maladie, elle a cru renaître, comme si on lui donnait une nouvelle chance. Les deux lui ont donné une envie folle de vivre, de retrouver le plaisir de manger et même le plaisir d’être un peu enivrée par le vin ; ainsi que la douceur de sentir une main passer sous sa robe.



Quelque chose avait changé dans sa façon de voir les choses, même si dans sa tête, quitte à choquer l’éducation qu’elle avait reçue, elle avait envie de vivre pleinement le plaisir charnel qu’elle appelait de toutes ses forces. Elle se rendait compte qu’elle regardait avec émotion les jardiniers de la Résidence, qui étant torse nu, ne la répugnait pas, comme cela aurait été le cas auparavant, en voyant leur corps couvert de sueur et de saleté. Preuve s’il en est que son cerveau fonctionnait dans le trouble de la sexualité.

Elle se rendait compte qu’elle mouillait, rien qu’en voyant ces corps dénudés et ceux aperçus durant la partouze à laquelle, pourtant, elle n’avait pas participé. Elle avait encore dans ses yeux, le spectacle de ces deux femmes, qui entrelaçaient leur bouche et leur langue au plus profond, lui donnant une envie folle de se joindre à elles ! Les culs, les seins, les vulves ouvertes et les doigts qui les fouillent la rendaient complètement hystérique.

Je fus tiré de ma rêverie par un :

– Hello Pat, tu ne m’as pas attendu pour prendre ton petit déj’ ?
- Mais si chérie, j‘ai juste bu du café. Je t’attendais pour faire griller du pain. Il y a de l’eau dans la bouilloire pour le thé. Ne bouge pas, je vais te le préparer.

Après avoir pris, pour ma part un solide petit-déjeuner, ma compagne se contentant de boire deux grandes tasse de thé, elle me demande si je suis très pressé, car elle a encore envie de se confier. Rien ne me presse, célibataire endurci, je suis entièrement libre de mon temps et je me sens bien au Maroc, avec ma Flamande qui n’a que des avantages, libre elle aussi, et assoiffée de sexe après ce que je viens de vivre avec elle.

Nous reprîmes place sous la tente, car le soleil commençait à chauffer nos épidermes. Alors que je m’assieds en tailleur sur le matelas, Magda, qui a revêtu ce matin une djellaba en laine légère de couleur blanche, vient s’allonger sur la couche et pose sa tête sur mes genoux.
Décidemment, cette position lui plait bien.

- José m'a poursuivi de ses assiduités. Dès le lendemain, je n’ai résisté que très peu de temps à ce colosse de plus d’un mètre quatre-vingts et il est devenu mon amant pratiquement tous les deux jours. Assez rapidement, il a visité tous mes orifices avec un grand plaisir. Il a été mon premier amant véritable, me faisant découvrir une sexualité qui m’était inconnue jusqu’ici.
- On peut dire ça, car la première fois qu’il est venu chez moi nous étions sur mon canapé et après que je lui ai offert un verre il m’a prise dans ses bras et m’a embrassée. Pendant qu’il prenait ma bouche, ses mains me découvraient totalement, en m’effeuillant petit à petit. Je me laissais enlever mon corsage et ma jupe dans un état second. Même lorsqu’il a dégrafé mon soutien-gorge, enveloppant mes petits seins dans ses grandes paumes et agaçant mes tétons si sensibles. J’eus un peu honte quand il fit glisser ma culotte sur mes chevilles et qu’il m’obligea, accentuant ma gêne, à ouvrir les cuisses, que j’ai ouvertes en grand malgré tout.

- Puis, il a dirigé ma main droite sur son sexe qui bandait outrageusement. J’ai caressé maladroitement son paquet par-dessus son short, puis, j’ai plongé ma main sous la ceinture, faisant presque sortir sa bite par l’entrejambe. Il a descendu son short sur ses cuisses et m’a demandé de le branler ce que j’ai fait pendant que lui découvrait mes seins et triturait mes tétons, ce qui m’a mise dans tous mes états, car je mouillais assez abondamment.

- Après que je l’ai branlé un peu, José, avec sa main derrière ma tête, l’a fait descendre vers sa verge qui m’a paru énorme, me demandant de la sucer. J’ai eu du mal à la prendre entièrement dans la bouche, mais, je l’ai engloutie jusqu’au fond de la gorge, jusqu’à ce qu’il me déverse son foutre épais et abondant, que j’ai avalé avec un grand plaisir.

- Deux jours plus tard, il est revenu et quand il est rentré chez moi, il m’a prise dans ses bras et m’a embrassée.
Ensuite, il m’a demandé de le sucer, là au milieu de mon salon, appuyant vigoureusement sur mes épaules pour que je m’agenouille devant lui. Il adore me mettre dans une position humiliante, et moi, l’ancienne chef d’entreprises, j’adore me soumettre à ses désirs, me comportant comme la chienne que je suis devenue.

- Puis, il a sorti son sexe et me l’a mis dans la bouche brutalement entre mes lèvres. De suite, j’ai avalé son gros nœud et je me suis mise à le sucer avec délices. Je crois que je mouille instantanément lorsque qu’un chibre de bonne taille me force la bouche.

- Oh, Mon Dieu ! Je jouis rien qu’à t’en parler. Je t’en prie, bouffe-moi la chatte, je n’en peux plus tellement je suis excitée.

Magda, retrousse sa djellaba jusqu’à son nombril et ouvre ses cuisses en grand pendant que je hume le fumet de sa vulve qui sent bon la cyprine qui s’écoule de son vagin. Je lèche dans un premier temps la liqueur abondante que j’aspire et avale avec délice. Puis j’avance ma langue jusqu’au capuchon presque décalotté, du bourgeon si sensible de ma partenaire, agaçant très doucettement le petit pénis érigé, faisant faire des sauts de carpe à la belle Magda qui crie très fort sa jouissance, surtout que je la doigte de deux doigts réunis en même temps et que, ne la ménageant pas, je l’envoie au septième ciel, lui pilonnant son antre dégoulinant jusqu’à ce qu’elle explose dans un orgasme où elle délire en s’époumonant comme une damnée !

Repue, la cavale blonde se blottit dans mes bras, couvrant de petits baisers mon torse pendant que je lui caresse sa chevelure. Mais elle a de la suite dans les idées. Une fois qu’elle a repris ses esprits, elle poursuit son récit.

- Une fois qu’il ma déversé sa semence jusqu’à la dernière goutte et que j’ai tout avalé, il m’a dirigée vers ma chambre. Il m’a alors déshabillée et m’a léché le sexe, comme tu viens de le faire, moi allongée sur le dos en travers du lit et lui entre mes cuisses.
Après m’avoir fait avoir au moins deux orgasmes, il m’a fait mettre à quatre pattes sur la descente de lit, et il m’a prise comme cela, en levrette à grands coups de queue dans ma vulve. J’ai hurlé de plaisir, tellement il m’a fait jouir.

- Nous avons débouché une bouteille de champagne au salon pour reprendre des forces, car il m’a dit qu’il voulait me baiser, encore et encore jusqu’à ce que je sois morte de jouissance. Une fois son mandrin de nouveau presque en érection, il ma demandé de venir à genoux devant lui pour rendre rigide sa queue afin qu’il me pénètre. Puis il a léché de nouveau mon entrecuisse et il m’a prise trois fois dans différentes positions du Kama Soutra.

- Enfin, me mettant à quatre pattes, pendant qu’il me prenait dans mon orifice vaginal, il a enfoncé son index dans ma rondelle, y mettant un peu de beurre qu’il avait pris dans le frigo. J’ai compris instantanément ce qu’il avait l’intention de faire. Me sodomiser, alors que je n’avais jamais accepté que mon mari, ou mes trois éphémères amants me prennent par cet endroit. D’ailleurs mon mari, bien trop nul, ne me l’a jamais demandé. José ne faisant pas cure de mes protestations enfonça son majeur à la suite de son index. Je n’avais pas vraiment mal à cette introduction dans cet endroit interdit par la religion, mais je ne savais pas ce qui m’attendait.

- Puis, il a ajouté son pouce dans mon anus avec force. Cette fois, cela faisait gros pour mes sphincters et je lui ai crié qu’il me faisait mal. Il n’en a eu cure, continuant à ramoner mon postérieur sans aucune hésitation. Il a retiré ses doigts d’un seul coup et j’ai senti aussitôt une grosseur pousser sur la rosace de mon cul. J’ai saisi dans l’instant que c’était son gland qu’il tentait d’introduire dans mon rectum. Lorsque qu’après diverses tentatives, son gros pieu est arrivé à forer mon petit trou, j’ai hurlé de souffrance, ayant l’impression qu’un fer rouge s’enfonçait dans mes entrailles. Me prenant en pitié, il s’est immobilisé tout au fond de mes intestins, me laissant m’habi à l’intrus enfoncé jusqu’à la garde, dans mon cul encore vierge il y avait quelques instants. Pourtant, alors que d’une main il m’astiquait le clitoris, José commença à faire aller et venir légèrement son sexe dans mon fondement nouvellement défloré. C’est à ce moment que j’ai ressenti le feu dans mon ventre et que je me suis mise à feuler comme une femelle dévoyée que j’étais devenue. Je lui lançais des Oui ! Oui ! Continue à me défoncer le cul. Oh ! J’aime ta queue mon chéri, encule-moi encore, Oh ! Oui…………..

- C’est à ce moment, qu’à ma grande surprise, José a ouvert en cliquant sur une commande sans fils, les rideaux des deux grandes baies du salon, pendant qu’il me sodomisait en levrette, pour que plusieurs ouvriers et autres jardiniers me voient entrain de jouir avec mon cul. La honte que j’ai ressentie s’est mélangée au plaisir de m’exhiber nue, me faisant sodomiser par l’amant le plus convoité de la résidence. Le plaisir et l’orgueil d’avoir séduit le plus beau mâle, ayant le pas sur l’humiliation.

- Je dois admettre que le premier amant que j’ai connu après ma maladie et mon divorce, m’a fait découvrir des choses que je ne pouvais pas connaître et éprouver dans la société où je vivais, et certaines jouissances que je n’envisageais aucunement, ni même dans mes fantasmes d’ailleurs, car il y avait longtemps que je n’avais plus de rêves charnels. Je peux dire que j’ai découvert les orgasmes et les jouissances depuis que je vis seule, alors que mes tabous sont tombés les uns après les autres. Pleins d’agissements, qu’une femme comme j’étais avant, ne pouvait pas imaginer, pour me plonger dans le stupre et la lubricité avec bien-être. Je suis à présent en accord avec ma tête et mon corps. Pour moi quand je parle de libertinage, c’est que je vis maintenant des sentiments et des jouissances inconnus auparavant.
-
À suivre…

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